domingo, 2 de novembro de 2008

La vague

Et cette douleur qu'il crut éteinte s'insinuait à nouveau comme une vague océanique lente et presque imperceptible - dont l'épicentre était le coeur ébranlé par le soupçon inconscient d'avoir été oublié, par cette absence silencieuse de l'autre - et qui, à défaut d'un signe nourrissant pour cet amour qui a toujours faim, vient tout à coup s'écraser sur les sables noires du désespoir.

1 comentário:

André . أندراوس البرجي disse...

Ah les sables noirs, toujours les sables noirs...