quarta-feira, 6 de junho de 2007

Dernier mot

Parce qu'aujourd'hui mon sourire a perdu ses artifices. Parce qu'aujourd'hui mon coeur bat plus fort, désabusé. Parce qu'aujourd'hui les mots ne sont pas les mêmes. Et si tu ne le vois pas, c'est à force de combler ce vide d'un moi que tu inventes à ton gré. Tu ne me connais pas. J'ai aimé. Pas toi. J'ai été marqué une seule fois. Mais pas par toi. Toi, que du vent. Toi, que du brouillard. Toi, ma plus grande erreur. Pour toi, de l'indifférence. Et c'est bien ta faute. Et crois-moi - mais finalement que je m'en fou de ce que tu crois - ce qui m'habite à présent c'est tout nouveau, c'est de l'Immensité. Aux dieux de me juger.

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