terça-feira, 8 de janeiro de 2008

Arnheim

J'aurais peut-être le coeur plus léger si l'on m'accordait l'entrée au paradis d'Arnheim. Quel bonheur m'envahirait si je pouvais glisser sur ces eaux d'une pureté invraisemblable, emporté par ce crescent féerique d'ivoire en contemplant les paysages de miracle que seuls des mots nous apprennent.

1 comentário:

Filipe Gouveia de Freitas disse...

Is there such a palce rather than in our minds?